Chers amis,

Chaque jour, nous payons le prix fort pour financer une machine qui nous méprise.

Une machine qui déforme nos vies, nie nos réalités, et nous vend des mensonges à longueur de journée.

Cette machine, c’est France Télévisions.

Vous le savez : nous ne parlons pas de quelques millions d’euros perdus dans les couloirs de la bureaucratie.

Non. 4 milliards d’euros par an.

Quatre milliards arrachés à nos poches, alors que des familles n’arrivent plus à remplir leur frigo, alors que nos hôpitaux tombent en ruine, alors que nos campagnes manquent de médecins et de services publics essentiels.

Et pour quoi ?

Pour que l’on nous répète, du matin au soir, que « tout va bien », que « l’immigration est une chance », que « le grand remplacement n’existe pas ».

Quand plus de 60 % des Français expriment leur peur de l’immigration massive, France Télévisions choisit de leur cracher au visage, en les traitant de paranoïaques, de complotistes, d’extrémistes.

Moi, je vis dans une petite ville.

Ici, les commerces ferment les uns après les autres, l’insécurité progresse, et le chômage ronge nos jeunes.

Mais quand j’allume la télévision publique, j’entends toujours la même rengaine :

« Ne vous inquiétez pas, tout va bien, vous exagérez ».

Quelle gifle pour des millions de Français qui, comme moi, voient leur quotidien bouleversé.

Quelle humiliation de devoir payer pour une propagande qui nie notre existence.

Ce n’est pas un hasard.

Le service public audiovisuel est devenu l’outil parfait de l’État pour contrôler l’opinion.

Derrière une façade de « neutralité », il diffuse chaque jour un récit idéologique uniforme, calibré, orienté.

Vous souvenez-vous des débats pendant la crise sanitaire ?

Ceux qui osaient remettre en question le discours officiel étaient ridiculisés, caricaturés, réduits au silence.

Des médecins respectés, des chercheurs indépendants, des citoyens inquiets : tous balayés d’un revers de main par des journalistes complaisants.

Et pourtant, beaucoup de leurs alertes se sont révélées exactes.

C’est toujours le même mécanisme :

On occulte, on manipule, on stigmatise. Et c’est nous qui payons pour ça.

Quand Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, ose dire qu’il faut écarter « les hommes blancs de plus de 50 ans » des antennes, c’est avec notre argent qu’elle met en place ce tri idéologique.

Son salaire de 400 000 euros par an, financé par vos impôts, c’est encore nous qui le payons.

Et pendant ce temps, on vous culpabilise parce que vous « coûtez trop cher » à l’État si vous réclamez des soins ou des aides sociales.

Comment pouvons-nous tolérer cela plus longtemps ?

France Télévisions n’est pas seulement un gouffre financier.

C’est une arme politique, utilisée pour imposer une vision biaisée du monde.

On y glorifie certains mouvements, on y étouffe les opposants, on y impose un vocabulaire qui déforme la réalité.

Regardez les mots employés :

• L’immigration illégale devient « migration ».
• Les violences deviennent des « incivilités ».
• Les émeutes sont appelées « tensions sociales ».

Et quand un drame survient, on met des jours à en parler, jusqu’à ce que le sujet disparaisse comme par magie de l’actualité.

Est-ce cela, un service public ?

Un service public devrait être au service du peuple, pas de ceux qui cherchent à formater son esprit.

Pourtant, ce que nous avons aujourd’hui, c’est un système qui prend notre argent pour mieux nous endormir.

4 milliards d’euros par an, c’est l’équivalent de :

• Des dizaines d’hôpitaux rénovés.
• Des milliers de places en crèche pour nos enfants.
• Des milliers de lits dans les maisons de retraite pour nos anciens.
• Des recrutements massifs d’enseignants pour nos écoles.

Mais NON.

Cet argent part dans les studios luxueux de journalistes qui se croient investis d’une mission divine : nous expliquer comment penser, quoi croire, et surtout… quoi taire.

Vous ne trouvez pas cela insupportable ?

Chaque Français paie.

• Même ceux qui n’ont pas de télévision.
• Même ceux qui n’ont jamais regardé France 2 ou France 5.
• Même ceux qui rejettent la ligne idéologique imposée par ces chaînes.

C’est une taxe cachée, déguisée, dissimulée derrière nos impôts.

Et ce système s’accroche, coûte que coûte.

Aujourd’hui, on nous promet de « regrouper » les structures avec une holding pilotée par l’État.

On nous dit que ce sera « plus efficace ».

Mais nous savons ce que cela veut dire :

• Encore plus de bureaucratie,
• Encore plus de salaires dorés,
• Encore plus de dépenses inutiles.

Toujours financé par nous.

Il est temps d’arrêter cette mascarade.

Nous demandons la fin du financement public obligatoire de France Télévisions !

Nous exigeons que chacun puisse choisir librement ce qu’il regarde, ce qu’il soutient, ce qu’il finance.

Si certains veulent payer pour ces programmes, qu’ils le fassent.

Mais qu’on arrête de ponctionner tous les Français de force.

Nous voulons ouvrir le marché à la pluralité médiatique.

Nous voulons que l’État cesse de dicter ce que nous devons entendre.

Nous voulons un audiovisuel qui reflète réellement la diversité des opinions, pas une propagande uniforme déguisée en service public.

Imaginez un instant : avec 4 milliards économisés, combien de projets utiles pourrions-nous financer ?

Combien de familles soulagées, combien de territoires revitalisés, combien de vies améliorées ?

Mais chaque année, on nous vole cette chance.

Je vous le dis avec colère et sincérité : ASSEZ

• Assez d’être les vaches à lait d’un système qui nous méprise !
• Assez de financer nos propres bourreaux médiatiques.
• Assez de payer pour être méprisés, insultés, niés !

Aujourd’hui, nous avons une opportunité de dire STOP.

Signer cette pétition, c’est refuser que nos impôts soient gaspillés.

Signer cette pétition, c’est réclamer notre droit à une information libre, pluraliste, indépendante.

Signer cette pétition, c’est envoyer un message clair au Président de la République : nous ne voulons plus financer une propagande d’État.

Il y a URGENCE.

Car si nous ne faisons rien, demain, ce système sera encore renforcé.

On vous dira que c’est « pour votre bien ».

On vous fera croire qu’il n’y a pas d’alternative.

Et chaque année, vos impôts continueront à disparaître dans un gouffre sans fond.

Mais nous, citoyens, pouvons encore agir.

Par notre voix, par notre union, par cette signature qui n’est pas un simple geste symbolique.

C’est une arme.

L’arme pacifique mais puissante de ceux qui en ont assez d’être volés et manipulés.

Je vous le demande, de tout cœur et avec la plus grande urgence :

Signez maintenant. Pour vos enfants. Pour vos proches. Pour vous. Pour nous tous.

Parce que chaque euro compte.

Parce que chaque voix compte.

Parce que chaque signature est une pierre de plus pour briser ce système injuste.

Aujourd’hui, il est encore temps.

Demain, il sera peut-être trop tard.

Alors ne restez pas spectateurs. Rejoignez le mouvement.

Exigez la fin de ce pillage organisé. Et ensemble, redonnons du sens au mot « service public ».

Signez la pétition dès maintenant !