
Imaginez un monde où les citoyens n’ont plus le droit de s’exprimer librement.
Un monde où une poignée de technocrates décide, depuis Bruxelles, de ce que vous avez le droit de lire, de partager, de publier.
Ce monde n’est plus une fiction. Il est déjà là.
Depuis ce 6 Octobre, l’Union Européenne a imposé la plus grande censure numérique de notre histoire.
Sous prétexte de “protéger les élections” et de “préserver la démocratie”, les autorités européennes ont interdit toute publicité liée à la société, à la santé, à l’écologie ou à la politique sur les réseaux sociaux.
Derrière ces mots rassurants, se cache une réalité terrifiante : les voix dissidentes, les associations locales et les lanceurs d’alerte sont désormais réduits au silence.
Chaque jour, des milliers d’organisations citoyennes, des journalistes indépendants et des collectifs engagés voient leurs publications bloquées, leurs campagnes suspendues, leurs messages effacés.
Leur seul tort ? Avoir voulu informer, dénoncer, alerter.
Le débat public n’existe plus. Il a été confisqué.
Et pire encore : cette censure n’est pas appliquée par des élus, mais par des algorithmes contrôlés par des multinationales et dictés par la Commission européenne.
Ils appellent cela “réguler Internet”.
Mais c’est une régulation à sens unique.
Les grandes entreprises, elles, peuvent continuer à diffuser leurs messages.
Leurs publicités “institutionnelles” passent sans problème.
Leurs campagnes de communication déguisées en actions écologiques sont même encouragées.
Mais quand une petite association veut parler de santé, d’environnement ou de droits fondamentaux, elle est immédiatement réduite au silence.
90 % des ONG européennes utilisaient les réseaux sociaux comme principal levier de mobilisation.
Aujourd’hui, elles n’ont plus le droit de promouvoir leurs actions, de financer une campagne, de recruter des bénévoles.
Ce n’est pas une simple erreur de régulation.
C’est un coup porté en plein cœur à la liberté d’expression.
Et tout cela, sans que personne n’ait demandé votre avis.
Aucune consultation citoyenne. Aucune enquête publique.
Juste une décision technocratique, prise dans le silence feutré des bureaux de Bruxelles.
Le Digital Services Act donne à la Commission le pouvoir absolu de définir ce qui est “politique”.
Autrement dit, tout ce qui dérange peut désormais être classé comme “politique” et donc… interdit.
- Un journaliste indépendant qui enquête sur un scandale sanitaire ? Politique.
- Une association qui défend les animaux ? Politique.
- Un collectif qui alerte sur les pesticides ? Politique.
Tout devient suspect.
Et tout peut être censuré.
C’est ainsi que Sophie, journaliste indépendante, a vu sa voix disparaître.
Pendant des années, elle publiait ses reportages sur les injustices sociales.
Des milliers de citoyens partageaient ses enquêtes.
Mais depuis le 6 Octobre, ses publications sponsorisées sont systématiquement bloquées.
Elle n’a enfreint aucune règle, elle n’a propagé aucune fausse information.
Pourtant, ses contenus sont invisibles.
« C’est une nouvelle ère : celle du silence imposé », dit-elle, la gorge serrée.
Et elle n’est pas seule.
- Des milliers de “Sophie” à travers l’Europe voient leurs efforts anéantis.
- Des centaines d’associations locales ferment leurs pages, faute de pouvoir exister.
- Des millions de citoyens n’ont plus accès qu’à une information filtrée, aseptisée, approuvée par Bruxelles.
Nous assistons à la naissance d’un nouveau pouvoir : celui de la censure institutionnalisée.
On nous fait croire que c’est pour notre bien.
Que cela protège la démocratie.
Mais une démocratie qui empêche ses citoyens de s’exprimer n’en est plus une.
Ce système n’est pas là pour “protéger” la parole.
Il est là pour la contrôler.
Chaque message, chaque opinion, chaque campagne doit désormais être conforme à ce que Bruxelles estime “acceptable”.
C’est une dérive gravissime.
Et si nous ne réagissons pas maintenant, demain, il sera trop tard.
Car ce modèle de censure ne s’arrêtera pas là.
Aujourd’hui, il frappe les associations.
Demain, ce seront les journalistes.
Puis les citoyens eux-mêmes.
Qui décidera demain de ce que vous avez le droit de penser ?
Un commissaire européen ? Un algorithme ? Une machine à “évaluer” vos opinions ?
Ce n’est pas un fantasme.
C’est la réalité de l’Europe numérique qui se met en place.
Et tout cela, au nom d’une prétendue “lutte contre la désinformation”.
Mais la vraie désinformation, c’est celle qu’on ne peut plus dénoncer.
Les peuples d’Europe ont le droit de s’informer librement.
Ils ont le droit de débattre, de contester, de se mobiliser.
Ce n’est pas à Bruxelles de décider quelles idées sont acceptables.
Nous demandons la création d’un droit fondamental à la libre expression numérique dans la Charte des droits européens.
Un droit clair, reconnu, protégé.
Un droit pour tous, pas seulement pour ceux qui pensent “comme il faut”.
Nous demandons aussi la mise en place d’une commission indépendante de surveillance de la censure numérique.
Une instance citoyenne, transparente, capable de contrôler les décisions prises par les plateformes et les institutions.
Et enfin, nous exigeons un référendum européen sur la liberté d’expression en ligne.
Parce qu’il est temps que les peuples d’Europe reprennent la parole.
L’histoire nous l’a appris : chaque fois qu’un pouvoir commence à contrôler l’information, la démocratie recule.
- Ce qui se joue ici, c’est notre avenir collectif.
- Ce n’est pas seulement une bataille pour Internet.
- C’est une bataille pour la liberté.
Imaginez une Europe où plus personne n’a le droit de remettre en question une décision politique.
Une Europe où les associations écologistes ne peuvent plus parler d’environnement.
Une Europe où les médias indépendants disparaissent, faute de financement et de visibilité.
C’est ce futur que cette censure prépare.
Et ce futur commence maintenant.
Ils ont peur de la vérité.
Ils ont peur des citoyens informés, capables de penser par eux-mêmes.
Ils ont peur des mouvements citoyens qui dérangent leurs intérêts.
Mais nous, nous avons encore le pouvoir de dire NON.
Chaque signature compte.
Chaque voix peut peser.
Chaque citoyen peut participer à la résistance pacifique contre cette dérive autoritaire.
Il est encore temps d’agir.
Mais le temps presse.
Si nous restons silencieux, cette censure deviendra la norme.
Nos enfants grandiront dans une Europe où la liberté de parole ne sera plus qu’un souvenir.
Signer cette pétition, c’est refuser de se taire.
C’est défendre un droit fondamental qui appartient à chacun d’entre nous.
C’est dire à ceux qui gouvernent que la démocratie ne se décrète pas, elle se vit, elle s’exerce, elle se défend.
Ne croyez pas que votre signature ne change rien.
Chaque signature est un acte de courage.
Chaque nom ajouté à cette pétition est une lumière dans l’obscurité du silence imposé.
Des milliers de citoyens se lèvent déjà à travers l’Europe.
Ils refusent que la liberté d’expression soit remplacée par la conformité obligatoire.
Ils réclament la vérité, la transparence, la justice.
Rejoignez-les.
Ne laissez pas cette censure devenir irréversible.
Car aujourd’hui, ils réduisent au silence une association.
Demain, ce sera peut-être vous.
Signez cette pétition pour que la liberté d’expression numérique soit inscrite dans la Charte des droits européens.
Signez pour que la censure cesse d’être un outil politique.
Signez pour défendre la démocratie, la vraie, celle qui vit de débats, de contradictions, et de paroles libres.
Il n’y aura pas d’autre occasion.
Ce combat est le nôtre.
Celui de toutes celles et ceux qui refusent de se soumettre à la peur et au silence.
C’est le moment de choisir :
La liberté… ou la servitude numérique.
Ne restez pas spectateur.
Agissez, maintenant.
Pour vos Enfants. Pour vous. Pour nous tous.
Signez cette pétition.
Et faites circuler la vérité avant qu’elle ne disparaisse.