Imaginez perdre en une seule journée ce que vous avez construit pendant toute une vie.

Des années de travail, d’efforts, de nuits blanches à veiller sur vos bêtes.

Et en quelques heures, voir 170 vaches et veaux emmenés, euthanasiés, détruits.

C’est ce qui est arrivé à un éleveur de Saint-Laurent-de-Chamousset.

170 animaux euthanasiés en un seul samedi.

Pas un accident, pas une catastrophe naturelle.

Mais une décision administrative, imposée par une crise sanitaire, la dermatose nodulaire contagieuse.

Et après le passage des vétérinaires, que reste-t-il à cet éleveur ?

Rien.

Pas d’animaux.

Pas de revenus.

Pas de soutien immédiat.

Son exploitation, bâtie au prix de sacrifices, se retrouve menacée de disparition.

Sa famille, qui comptait sur ce troupeau pour payer les crédits, nourrir les enfants, n’a plus de ressources.

Un abîme financier et émotionnel.

Tout cela parce qu’aujourd’hui en France, il n’existe aucun fonds d’urgence pour soutenir les éleveurs touchés par de telles crises.

Aucune aide immédiate, aucune sécurité, aucun filet de protection.

Alors que l’État exige l’euthanasie, il abandonne ensuite les familles d’agriculteurs à leur sort.

Un paradoxe cruel.

Une injustice flagrante.

Cet éleveur, c’est une famille agricole comme tant d’autres.

Une famille qui avait mis toute sa vie dans ses bêtes.

Leur histoire est bouleversante, mais elle n’est pas unique.

Demain, cela peut arriver ailleurs.

À n’importe quel autre éleveur.

Car les maladies contagieuses ne préviennent pas.

Elles frappent brutalement, laissant derrière elles des ruines économiques et des cicatrices humaines.

170 vies animales détruites.

Une famille plongée dans la détresse.

Et demain, combien d’autres ?

Nous ne pouvons pas détourner les yeux.

Nous ne pouvons pas rester spectateurs face à cette injustice.

Chaque jour, les agriculteurs nourrissent la France.

Ils travaillent dans le froid, la pluie, la chaleur, souvent sans vacances, souvent sans reconnaissance.

Et quand un drame sanitaire les frappe, on les laisse tomber.

Cela doit cesser.

Nous demandons à l’Assemblée nationale de prendre ses responsabilités et de créer immédiatement un fonds public de soutien d’urgence pour les éleveurs victimes de crises sanitaires.

Un fonds qui permettrait :

De compenser immédiatement la perte d’animaux.

De protéger les exploitations d’une faillite soudaine.

D’assurer un avenir aux familles agricoles.

Parce que sans ce soutien, c’est toute une profession qui est fragilisée.

C’est notre souveraineté alimentaire qui est en danger.

Et ce sont des vies brisées que nous laissons derrière nous.

Imaginez un instant.

Vous avez contracté un prêt pour développer votre activité.

Vous avez investi dans des machines, des bâtiments, des terres.

Vous avez nourri vos bêtes chaque jour, pris soin d’elles comme d’enfants.

Puis, un matin, tout s’arrête.

On abat vos bêtes.

Et vous, vous n’avez plus rien.

Comment payer vos traites ?

Comment nourrir vos enfants ?

Comment continuer à vivre ?

C’est la réalité de cette famille agricole.

Et c’est la réalité qui attend d’autres éleveurs si rien ne change.

Ne croyez pas que cela ne vous concerne pas.

Chaque litre de lait, chaque morceau de fromage, chaque pièce de viande qui arrive dans votre assiette dépend de ces femmes et de ces hommes.

Sans eux, plus de circuits courts, plus de terroir, plus de souveraineté alimentaire.

Nous serions entièrement dépendants de l’étranger.

Soutenir nos éleveurs, c’est protéger notre avenir.

C’est protéger nos campagnes.

C’est protéger notre alimentation.

Aujourd’hui, nous vous demandons d’agir.

De dire non à l’abandon.

De dire oui à la solidarité.

Signez cette pétition.

Car chaque signature est une voix.

Une voix qui dit à nos élus : assez d’inaction.

Une voix qui demande une mesure simple, humaine, indispensable : un fonds public de soutien d’urgence.

Ce n’est pas une faveur.

Ce n’est pas un luxe.

C’est une nécessité.

Une mesure de justice.

Un filet de sécurité minimal.

Pensez à cette famille agricole qui a tout perdu en une seule journée.

Pensez aux regards des enfants qui ne comprennent pas pourquoi leur père rentre à la maison, vide, brisé.

Pensez à l’avenir qu’ils n’ont plus.

Ce fonds, c’est leur chance de se relever.

C’est l’assurance qu’ils ne seront pas seuls la prochaine fois.

C’est un signe de respect envers ceux qui travaillent sans relâche pour nourrir la nation.

Ne laissons plus aucune famille sombrer après un abattage massif imposé.

Ne laissons plus aucune exploitation mourir dans le silence et l’indifférence.

Chaque signature compte.

Chaque signature rapproche ce fonds de devenir réalité.

Chaque signature envoie un message clair à l’Assemblée nationale.

Vous avez le pouvoir de changer les choses.

Le pouvoir de soutenir ces familles.

Le pouvoir de dire : nous ne vous abandonnerons plus.

Imaginez dans quelques mois, une nouvelle épidémie frappe.

Un autre troupeau est condamné.

Mais cette fois, un fonds existe.

Cette fois, l’éleveur reçoit un soutien immédiat.

Cette fois, son exploitation survit.

Et ses enfants peuvent continuer à croire en l’avenir.

C’est cela que nous voulons.

C’est cela que nous demandons.

Et c’est cela que votre signature peut rendre possible.

Ne restez pas spectateur. Devenez acteur.

Signez, partagez, mobilisez.

Parce que l’agriculture française ne peut plus attendre.

Parce que derrière chaque exploitation, il y a une famille.

Parce que derrière chaque animal abattu, il y a une vie bouleversée.

L’histoire de cette famille agricole doit servir d’électrochoc.

Elle doit nous rappeler que les éleveurs ne sont pas des variables d’ajustement.

Ils sont le cœur battant de nos campagnes.

Et si nous ne faisons rien, combien d’autres familles vont-elles sombrer dans le désespoir ?

Combien de villages vont-ils perdre leurs fermes, leurs bêtes, leur identité ?

Nous avons une responsabilité collective.

Une responsabilité envers nos paysans, envers notre alimentation, envers notre avenir.

Signez cette pétition maintenant.

Pour exiger un fonds d’urgence.

Pour protéger nos éleveurs.

Pour défendre nos campagnes.

Pour soutenir nos familles agricoles.

Ne laissons plus jamais une famille agricole seule face au vide.

Ne laissons plus jamais 170 vies disparaître sans compensation.

Ne laissons plus jamais l’indifférence gouverner.

Votre signature est un acte concret.

Un acte de justice.

Un acte d’humanité.

C’est en unissant nos voix que nous pouvons imposer le changement.

C’est en nous mobilisant aujourd’hui que nous éviterons les drames de demain.

Alors signez.

Partagez.

Et faites entendre votre voix.

Pour qu’aucun éleveur ne revive jamais le cauchemar de Saint-Laurent-de-Chamousset.

Pour qu’aucune famille ne perde tout du jour au lendemain.

Pour que l’agriculture française retrouve la dignité et la sécurité qu’elle mérite.

Ensemble, faisons bouger les lignes.

Ensemble, obtenons ce fonds d’urgence.

Ensemble, protégeons nos éleveurs.

Signez dès maintenant.

Votre soutien peut tout changer.