PÉTITION

Sanctionnez les maitres qui abandonnent leurs animaux de compagnie

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Auteur(s): Stéphane Richard

Imaginez un refuge. Les portes qui grincent. Les aboiements qui résonnent sans fin. Les regards perdus derrière des barreaux. Des chiens et des chats qui ne comprennent pas pourquoi ils sont là. Pourquoi ils ont été trahis. Pourquoi on les a abandonnés comme de simples objets.

Chaque jour en France, ce cauchemar devient réalité. Chaque jour, des bénévoles poussent leurs limites pour sauver l’impossible. Mais ils n’en peuvent plus. Les refuges explosent. Chaque cage est pleine. Chaque mètre carré est saturé. Et pourtant, les abandons continuent.

<strong>117 000 animaux recueillis chaque année</strong>. C’est le chiffre officiel. Derrière lui, des drames, des visages, des histoires réelles. Et surtout une terrible conséquence : <strong>des milliers d’animaux refusés faute de place</strong>. Oui, vous avez bien lu. On refuse des vies. On laisse des chiens et des chats à la rue. On les condamne à attendre une place qui n’arrivera jamais.

C’est une honte. C’est une blessure collective. Et c’est notre responsabilité.

Vous imaginez ce que cela signifie ? Quand une famille trouve un chaton agonisant sur le bord de la route, elle appelle partout. Et partout, la même réponse tombe comme un couperet : « complet ». Ce mot claque comme une sentence de mort. Et ce chaton, lui, n’a pas survécu.

Ce n’est pas une anecdote isolée. C’est la réalité de notre pays. C’est la réalité de centaines d’animaux chaque semaine.

<strong>Chaque cage pleine est une vie condamnée à l’attente.</strong>

<strong>Chaque refus est une souffrance de plus.</strong>

<strong>Chaque abandon est un échec de notre société.</strong>

Et pourtant, il existe des solutions. Elles sont simples. Elles sont claires. Elles sont à portée de main.

Nous demandons à l’Assemblée nationale d’agir immédiatement. De voter un plan d’urgence national pour financer les refuges. Pour recruter du personnel. Pour créer un fonds public permanent qui garantira que plus jamais un refuge n’ait à dire : « nous n’avons plus de place ».

Parce qu’un pays qui laisse ses refuges mourir est un pays qui abandonne sa dignité.

Il est urgent de donner des moyens à ceux qui se battent chaque jour. Ces femmes et ces hommes qui ramassent les animaux au bord des routes. Qui nourrissent, soignent, réconfortent. Ils sont en première ligne d’une guerre silencieuse. Une guerre contre la cruauté, contre l’indifférence, contre la lâcheté.

Mais ils ne peuvent pas tout faire seuls.

<strong>Les bénévoles sont à bout de souffle.</strong>

Ils enchaînent les nuits blanches, les sacrifices personnels, les dettes parfois. Pour quoi ? Pour compenser l’inaction de l’État. Pour réparer l’irresponsabilité de certains citoyens.

Est-ce acceptable ? Non. C’est révoltant.

Nous parlons d’êtres vivants. De compagnons fidèles. De créatures qui ressentent la peur, la douleur, la solitude. Pas de meubles qu’on jette quand ils encombrent.

Chaque chien, chaque chat a une histoire. Un passé, un regard, un cœur qui bat. Et nous avons le devoir moral de leur offrir autre chose qu’un couloir froid, qu’une cage bondée, qu’un refus cruel.

<strong>Signer cette pétition, c’est dire STOP.</strong>

Stop à l’abandon massif.

Stop aux refuges saturés.

Stop à cette indifférence institutionnelle qui tue.

Vous pouvez être la voix de ceux qui n’en ont pas.

Pensez à ce chaton laissé agonisant. Pensez à ce chien attaché à un arbre sur une aire d’autoroute. Pensez à ces centaines d’animaux qu’on aligne sur une liste d’attente comme s’il s’agissait de numéros.

Avez-vous déjà vu un chien qui attend, derrière les barreaux, que quelqu’un se retourne enfin vers lui ? Avez-vous déjà croisé le regard d’un chat qui a cessé de croire qu’il pourra un jour retrouver la chaleur d’un foyer ? Ces regards marquent à vie.

Aujourd’hui, nous avons le pouvoir d’empêcher que ces regards se multiplient.

<strong>117 000 abandons par an</strong>. Ce chiffre ne peut pas devenir notre norme. Ce n’est pas une fatalité. C’est un signal d’alarme. Et nous devons y répondre par des actes forts.

Un plan d’urgence, ce n’est pas une option. C’est une obligation morale. C’est le minimum que doit un pays qui se prétend civilisé.

Le financement des refuges doit être assuré. Non pas de manière ponctuelle, non pas avec des aides aléatoires, mais avec un <strong>fonds public permanent</strong>. Parce que les abandons ne s’arrêtent pas. Parce que les bénévoles ne peuvent plus porter seuls ce fardeau. Parce que sans argent, sans bras, sans infrastructures, des milliers d’animaux mourront dans l’indifférence.

Recruter du personnel, c’est essentiel. Les bénévoles ne suffisent plus. Leur énergie, leur générosité, leur courage ne compensent pas le manque de moyens. Nous avons besoin de professionnels. Nous avons besoin de vétérinaires, de soigneurs, d’éducateurs. Des métiers essentiels pour donner une chance réelle à chaque animal recueilli.

Et puis, il faut dire la vérité. Les abandons sont un problème de société. Ils révèlent notre rapport au vivant. Ils révèlent notre capacité à respecter la vie. Si nous fermons les yeux, nous cautionnons.

<strong>Ne pas agir, c’est être complice.</strong>

Alors, qu’allez-vous faire ? Fermer cette page en vous disant que c’est triste ? Ou bien prendre deux secondes pour signer et dire : « ça suffit » ?

Chaque signature compte. Chaque signature est un souffle d’espoir pour un chien, pour un chat, pour un refuge au bord du gouffre.

Vous n’imaginez pas ce que cela représente pour eux. Derrière chaque signature, il y a un message : vous n’êtes pas seuls. Nous vous voyons. Nous vous défendons. Nous exigeons que l’État agisse enfin.

Ce combat est juste. Ce combat est nécessaire. Ce combat ne peut pas être reporté à demain.

Regardez une dernière fois ce chiffre : <strong>117 000 abandons chaque année</strong>. Et dites-vous bien que derrière chacun de ces chiffres, il y a une vie. Une vie comme celle du chaton mort faute de place. Une vie comme celle du chien qui a attendu en vain son maître qui ne reviendra jamais.

Nous avons trop attendu. Trop accepté. Trop détourné le regard.

Il est temps de dire NON.

NON aux refuges saturés.

NON aux refus indignes.

NON à la mort par manque de place.

Oui à un plan d’urgence.

Oui à des moyens durables.

Oui à une société qui protège ses animaux.

Signer cette pétition, c’est écrire une page différente. Une page où la compassion et la responsabilité prennent le dessus. Une page où nos enfants pourront dire : « nous avons mis fin à ce scandale ».

Vous pouvez changer les choses. Pas demain. Pas après-demain. Mais maintenant. Ici. En signant.

<strong>Chaque seconde compte. Chaque signature sauve.</strong>

Alors, ne laissez pas cette chance passer. Rejoignez ce combat. Signez, partagez, mobilisez.

Parce que chaque vie mérite d’être sauvée. Parce que nous avons le pouvoir de le faire. Parce que l’Assemblée nationale doit nous entendre.

Les animaux ne peuvent pas se défendre. Mais vous, vous le pouvez.

En signant cette pétition, vous envoyez un message fort : nous ne tolérerons plus jamais qu’un refuge doive refuser un animal. Nous ne tolérerons plus jamais que l’État détourne le regard.

Votre signature peut être la différence entre la vie et la mort.

<strong>Signez maintenant. Pour eux. Pour nous. Pour l’honneur de notre société.</strong>

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